Non à l’intimidation
Sites avec n° d’appel gratuits pour information et soutien : En réponse aux nouvelles attristantes, que nous recevons depuis plusieurs années, sur l’Intimidation dans nos écoles du Québec, beaucoup d’efforts sont déployés par notre communauté pour la combattre énergiquement, dont la Loi 56, “loi visant à prévenir et à combattre l’intimidation et la violence à l’école”, en vigueur depuis juin 2012. Pour l’école FACE, vous pouvez consulter cette page où vous trouverez la dernière mise à jour de la politique de lutte contre l’intimidation : apprenez quelles sont les rôles et responsabilités de chacun. Vous serez mieux armé-e-s lorsque vous vous poserez des questions face à une situation préoccupante. À l’OPP, nous avons retenu que des parents bien informés peuvent faire la différence, à la fois dans la prévention, et dans la gestion des situations d’intimidation auxquelles peuvent être confrontés nos enfants. Parents, à nous de jouer ! Nous savons tous par les médias que l’intimidation peut produire des tragédies, mais nous savons moins qu’elle commence souvent par des agressions plus “banales”, qui la rendent difficile à reconnaitre pour nos enfants. Pour les éclairer, voici une définition à partager avec eux:
“L’intimidation, c’est quand on se moque d’une personne, qu’on lui donne des surnoms, qu’on l’humilie, qu’on l’exclut, qu’on la menace avec l’intention de lui faire du mal, que ce soit en personne, sur le Web, par texto ou par téléphone, ou encore qu’on la frappe. Ce n’est pas une taquinerie ou une blague pour la faire rire. Ce n’est pas une simple chicane entre amis qui se termine et qu’on oublie. C’est quelque chose qui se répète, qui continue jour après jour.”
C’est pourquoi il est important de dire à nos enfants qu’un comportement d’intimidation est INACCEPTABLE, même sans attaques brutales. Ce qui complique les choses, c’est que l’intimidation sort de l’école et continue avec le relais des réseaux sociaux. Elle se poursuit à la maison, via Facebook par exemple, où les intimidateurs peuvent faire souffrir leurs victimes à l’abri du regard des adultes. Là encore, en tant que parents nous pouvons avertir nos enfants et rester vigilants en parlant régulièrement de leur expérience sur les réseaux sociaux. Selon le Rapport Gagné réalisé au Québec en 2009 : Pour la cyberintimidation : Pour commencer, nous vous recommandons de regarder les 4 videos réalisées par la CSDM et le SPVM, elles durent entre 3 et 6 minutes chacune. Elles vous aideront à trouver les mots et la marche à suivre pour gérer au mieux une situation préoccupante, quel que soit le rôle de votre enfant (témoin, victime ou agresseur). Vous pourrez par la suite adopter la démarche qui vous semblera la plus adéquate compte-tenu de la situation et de la personnalité de votre enfant. Vous avez su rester calme, écouter votre enfant et le réconforter, vous vous êtes montré confiant sur les chances de trouver une solution… mais au moment de lui demander de dénoncer la situation, il bloque et refuse net par peur des représailles ou de passer pour un “stool”… C’est fréquent, et il n’est pas facile, comme parent, de mettre en danger notre propre relation de confiance avec lui en dénonçant contre sa volonté. À FACE À FACE, les responsables pour recueillir les plaintes ou signalements sont: Tout signalement sera traité CONFIDENTIELLEMENT. L’école s’engage à agir rapidement pour informer en retour la personne qui a porté plainte de ce qui a été fait et décidé. AUPRÈS DE LA CSDM Aussi, sachez que tout parent peut porter plainte à sa Commission scolaire (art. 220.2 de la Loi sur l’Instruction Publique) et cette dernière doit l’assister pour formuler sa plainte s’il le demande. AUPRÈS DU SPVM
http://jeunessejecoute.ca/
http://teljeunes.com/
http://www.fondationjasminroy.comL'intimidation, c'est quoi ?
“Des cas de suicide sont plus souvent rapportés pour des cas de rejets sociaux que pour des cas d’agression physique” avance Richard Gagné de l’Association Québécoise des Psychologues scolaires.
Que faire si votre enfant est victime, témoin ou auteur d'intimidation à l'école ?
Que faire si votre enfant refuse de dénoncer ?
Comment signaler une situation préoccupante ?
Conformément à la Loi 56 en vigueur depuis 2012, FACE a son Plan de lutte contre l’intimidation et la violence à l’école. À titre préventif, des opérations d’information et sensibilisation des élèves et de l’équipe-école ont été mises en place. De nouveaux moyens d’intervention sont régulièrement fournis à l’école par la CSDM.
Technicienne en Éducation Spécialisée
514 350-8899, poste 7582
Directeur Adjoint
514 350-8899, poste 8010
Si vous restez sans nouvelle de l’école ou que la situation, selon votre jugement, nécessite un recours en amont, voici, selon vos droits, la marche à suivre :
Si vous jugez que la sécurité de votre enfant est gravement menacée ou qu’il est victime d’un acte criminel (harcèlement, agression sexuelle, menaces, extorsion, etc.), vous pouvez contacter la police. C’est un recours qui vous appartient, peu importe les interventions de l’école pour contrer l’intimidation.